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Hakeem Olajuwon

Biographie de Hakeem Olajuwon




Double champion NBA, Double MVP des finales NBA, Titre de meilleur défenseur de la ligue, MVP, 12 Fois All Star, champion Olympique, meilleur contreur de tous les temps et récemment Hall Of Famer, l’histoire d’une basketteur hors du commun, l’histoire d’une légende, l’histoire d’Hakeem Olajuwon alias « The Dream »

1er Chapitre « La Naissance »



Tous commence le 23 Janvier 1963 à Lagos au Nigeria où naquit l’un des plus grand pivots de l’histoire de la NBA.
Nous sommes donc sur le continent Africain, ou le basket est très peu développé et pourtant s’est exactement dans ce sport que Akeem Olajuwon va exceller, ses premiers contacts avec le cuir s’avère très prometteur, son entraîneur de Lagos state impressionné par son physique monstrueux lui conseillera de s’inscrire a un tournoi régional. Conseille qu’écoutera bien sur Olajuwon qui surclassa tous le monde lors de se tournoi, une fois ses preuves faites tout ira très vite, pour le jeune nigérian, à seulement 17 ans est propulsé au commande de l’équipe nationale du Nigeria durant les jeux d’Afrique. Une fois de plus le jeune pivot impressionnera par sa fraîcheur et son physique sur le parquet.
Quelques mois plus tard, Akeem reçevra dans sa boites aux lettres, pas moins de six propositions pour intégrer un campus américain.
C’est au mois d’Octobre de l’année 1980 que Akeem posera pour la première fois ses pieds sur le sol américain et notamment dans la ville de New York. Mais le néo-américain avait négligé un petit détail, qui avait néanmoins son importance : Le climat. Et oui pas facile pour le géant de s’adapter a un climat si froid en plein mois d’Octobre, c’est pour cela que très rapidement Olajuwon se trouvera propulsé à Houston City dans le sud des USA, au Texas.

Chapitre 2 :« L’adolescence »



L’université de Houston ouvre donc ses portes au pivot, ses premiers tests sont très convainquant et son physique incroyable jouait en la faveur du jeune prospect. Tant d’effervescence autour d’Olajuwon, promettaient une parfaite intégration pour se nouvel arrivant, mais l’entraîneur de l’équipe universitaire, Guy Lewis, rencontrait quelques problème avec Akeem, notamment sur le point de la discipline, souvent malpolie et insolent, les rapports étaient parfois électriques entre le joueur et l’entraîneur.
Malgré quelques tensions, Olajuwon intégrera finalement l’équipe universitaire de Houston.
Une première année assez dur a vivre pour le tous jeune joueur de basket, qui vit mal la distance entre lui et sa famille, en plus de ça viennent s’ajouter des moqueries fréquentes au sujet de sa langue fautives et de son accent étrange. Mais Akeem ne bronche pas et se forge déjà un mental à toute épreuve qui lui permet de ne pas craquer lorsque la situation n’est pas à son avantage.
Sur le plan du Basket, la première année est également difficile, son intégration dans l’équipe est lente, son temps de jeu faible, il en profite donc pour améliorer sa masse musculaire et devenir un joueur encore plus physique pour ainsi mieux s’adapté au jeu rugueux et agressif du basket Américain.
L’année rookie terminé, Olajuwon rentre dans son année sophomore et peu a peu il trouve sa place dans l’effectif des Cougars de Houston, sur le parquet il côtoie de futurs stars NBA, tel que Clyde Drexler, ou encore Larry Micheaux.
Ses graines de stars, feront rêver pas mal de texans et donneront le tournis a de nombreuses défenses universitaire, ils en feront peu à peu une équipe mythique des années 80’ et on surnommera l’équipe le « Phi Slamma Jamma ».
Malgré une élimination par l’université de North Carolina State, Akeem Olajuwon recevra le titre honorifique de meilleur joueur universitaire, une sacrée récompense et revanche pour ce joueur.
Lors de sa dernière année le nigérian sera le seul chef d’orchestre de l’équipe, (Drexler se présentant a la draft, il quitta donc l’effectif) un rôle de franchise player que remplit parfaitement Olajuwon en emmenant les cougars en finale universitaire contre Pat Ewing et Georgetown.
Cette finale restera pour de nombreux fans une référence, un combat épique entre Ewing et Olajuwon, ou Ewing se verra gagner et il remportera par la même occasion le titre de meilleur joueur de la finale. C’est à la fin de cette année junior que le pivot nigérian décide de se présenter à la draft ou il sera sélectionner en premier choix par Houston, une draft ou sortiront un sacré panel de star comme Michael Jordan, John Stockton ou encore Charles Barkley.



Chapitre 3 : « L’âge adulte »



Akeem Olajuwon se retrouve donc en NBA, ou très rapidement il impressionnera par ses performances. En effet lors de cette première saison The Dream (son nouveaux surnom) tournera à 20.6 points, 12 rebonds et 2 .70 contres par match, il commence à se faire un nom et une réputation en NBA. Les Rockets ont trouvés en ce pivot physique ce qu’ils cherchaient c’est à dire un jeune joueur, qui prend ses responsabilités, ultra-complet et dominant dans la raquette. L’arrivée de Akeem donnera lieu à un duo exceptionnel, celui des « Twin Towers » composé du Nigérian et de Ralph Sampson, cette association dans la raquette feront de Houston une équipe au nouveau visage, celui de l’audace, du physique et du talent.
Des statistique tonitruantes, des résultats avec l’équipe plus que satisfaisant, le titre de meilleur rookie de l’année, tendait les bras a Mister Block seulement un certain Michael Jordan recevra plus de voix lors de l’élection que son camarades. Au passage lors de cette distinction seul Michael Jordan et Olajuwon recevront des votes.
Une année sophomore pleine pour « The Dream » qui goûtera pour la première fois au match des étoiles et au All Star Game avec son compère de début de carrière Ralph Sampson, lors de ce match de gala ils devinrent les premiers depuis le duo Wilt Chamberlain-Elgin Baylor à compilé chacun plus de 20 points et 10 rebonds.
La saison se poursuit donc en Play-off pour les Rockets auteur d’un bilan de 50 victoires pour 32 défaites, ils rencontreront lors de ces play-offs les champions NBA sortant les Los Angeles Lakers, les pronostiques jouent bien sur en la faveur des Lakers, irrésistible a l’époque mais la détermination des Rockets vont pousser les Lakers à la faute. Los Angeles ne trouvant aucune solution pour stopper les fameuses Twin Towers vont s’incliner en seulement 5 matches. Ainsi dès son années sophomore The dream va gouter à la magie des finals NBA contre la mythique équipe des Boston Celtics ménée par l’étincelant Larry Bird .
Même la plus grand des détermination n’aurait pu empêcher Bird de remporter cette finale, les Rockets avait aucune solution face au shooteur de Boston, qui à chaque match impressionné par sa facilité et son talent, les Celtics gagnèrent le titre sur le score de 4-2 avec un MVP tournant a environ 24 points, 10 rebonds et 10 passes de moyennes se nommant Larry Bird.

La déception des finales encore récentes, The Dream en fin de contrat, aurait pu tester le marché mais cela ne lui à pas traverser l’esprit une seule seconde, du moins c’est ce que l’on peut penser puisqu’il re-signe pour 10 ans et 20 millions de dollars, avec la franchise Texane.

Lors de cette saison 1986-87, Olajuwon hausse encore son niveau de jeu et il est nommé dans la All NBA team ainsi que dans la All NBA Defensive team. Malgré les progrès impressionnant de Akeem, les Rockets faiblissent et se font éliminer en demi-finale de conférence par les Sonics de Seattle. La Blessure au genoux de Ralph Sampson est l’un des cause de cet « mauvaise saison » pour Houston.
Et dès la saison suivante les « Twin Towers » n’existe plus, Ralph Samspon à sérieusement régresser dans son jeu et ses problèmes récurrents aux genoux ne font plus de lui un joueur majeur de l’effectif texans, il l’est donc envoyé à Golden State.


Les saisons passent, malgré la progression et les performances incroyables de Akeem « The Dream » Olajuwon les rockets échoue constamment en Play-offs. Lors de la saison 1988-89, Akeem terminera meilleur rebondeur de la ligue avec une moyenne avoisinant les 13,5 rebonds par match, il réalisera également une série incroyable en play-off contre les Dallas Mavericks avec une ligne de statistique totalement ahurissante, 37.5 points et 16.8 prises par match mais cela ne suffira pas à l’emporter.
Malgré les défaites de Houston en post-season, « The Dream » continue à graver son nom dans la sphère NBA, il rejoint ainsi le mythique Kareem Abdul Jabbar et Bill Walton en étant à la fois leader au rebond et au contre. Autre exploit incroyable dont peu de joueur peuvent se vanter c’est d’avoir réaliser un quadruple double avec 18 points, 16 rebonds, 11 contres et 10 passes et cela devant les Milwaukee Bucks.

Le 3 Janvier 1991, le pivot connaît sa première blessure en professionnelle, avec un coup de coude du pivot des Bulls, Bill Cartwright qui l’écartera des parquets durant environ 2 mois et cette blessure nécessita une intervention chirurgicale. Durant les années suivantes Houston n’arrivait plus à gagner, Olajuwon n’était pas à son meilleur niveau, les pépins physiques le dérangeaient de plus en plus, le doute s’installait dans la tête du géant nigérian, c’est pour cela qu’en 1992 il demanda à se faire transférer. Conscient de la perte que pouvait engendrer le départ de Olajuwon, les GM, décidèrent de mettre Rudy Tomjanovich, une ancienne star des Houston Rockets à la tête de la franchise texane.

Chapitre 4 : « L’Homme Sage »




Lors de cette saison 1992-1993, une Amérique triste de la retraite de Michael Jordan se consola sur la qualité de jeu exceptionnel retrouvé par Hakeem Olajuwon et par les Houston Rockets, « The Dream » fut récompensé à la fin de la saison régulière du titre de meilleur joueur de la ligue (MVP) et de celui de meilleur défenseur de la ligue. La franchise se débrouilla de façon exemplaire en post-season et accédèrent au finales NBA contre les New York Knicks d’un certain Patrick Ewing, Olajuwon pouvait enfin prendre sa revanche sur l’homme qui l’avait privé d’un titre universitaire dans le passé.
La lutte s’annoncer acharnée entre un Olajuwon voulant tellement soulever le Larry O’Brian Trophy et par la même occasion se venger du Bad Guy Patrick Ewing et entre une ville et équipe de New York attendant leurs troisième bague, leur échappant depuis 1973.
La série fut épique se jouant en 7 matchs avec des écarts ne dépassant pas les neuf points. Entraînée par une motivation sans faille « The Dream » pris le dessus sur Patrick Ewing, le dépassant au scoring sur chacun des matchs de la série. Les Rockets l’emportèrent lors du fameux game 7, un dernier match, qui, marqua sûrement la rencontre la plus terrible pour le shooteur des Knicks John Starks qui finit le match avec une copie désastreuse et un 2 sur 18 au shoot. De nombreuses personnes expliquent cette défaite dans l’ultime match a cause de Starks, qui lui-même définit sa performance comme la plus grosse erreur de sa carrière.
Ce trophée marquait une consécration pour Hakeem Olajuwon, une double consécration même puisqu’il reçu le titre de MVP des final’s.

La saison suivante ne fut qu’un bis-répetita de la précédente, « The Dream » impressionnant d’agilité et de facilité pour un pivot était encore plus fort et menaçant pour les défenses adverses, cette saison marqua également l’arrivée de son pote d’université Clyde the Glide alias Clyde Drexler. Malgré ce renfort précieux les Rockets déçoivent et termine à la 6ème place de la conférence ouest, lors de cette saison Hakeem Olajuwon dépassera le record de point de la franchise et détrônera donc l’ancien détenteur de se record, Calvin Murphy.
Houston se retrouve donc en play-off, et c’est durant la post-season que les fusées texanes commence réellement a prendre feu, qui aurait pu penser que les rockets sortiraient les Utah Jazz auteur d’un très belle saison avec 60 victoires et 22 défaites, les Suns de Phoenix avec un bilan de 59 victoires et 23 défaites et enfin les Spurs du MVP David Robinson, avec un bilan de 62 victoires et 20 défaites. Chaque tour paraissait plus dur et pourtant les rockets à chaque fois réussissaient à déstabiliser l’adversaire. Olajuwon and co’ se retrouvèrent pour une seconde fois consécutive en finale NBA et ils affrontèrent les Floridien d’Orlando mené par un certain Shaquille O’Neal et par le talentueux Penny Hardaway. Pour l’anecdote Big Shaq Daddy etait un grand fan du jeu, du talent et du charisme du pivot texans. Cette série vu un Hakeem Olajuwon en transe avec un moyenne de 33.0 points, 10.3 rebonds, 4.5 passes, 1.2 interceptions et 2.81 contres lors de la série, impossible pour Big Shaq de répondre présent a ce duel, en 4 petits games les texans réalisèrent le Back to Back, bien étonnant que cela puisse paraître au vue de leur saison, les Rockets l’avait fait et Clyde Drexler pouvait enfin savourait son premier titre NBA qui lui avait tant échappé avec Portland et les duels titanesques perdues contre les Bulls de Michael Jordan. A la fin de la série victorieuse « The Dream » récupéra le titre de MVP des finales une deuxième fois consécutives, seul Michael Jordan et plus récemment Shaquille O’Neal (avec les Lakers) ont réussi une telle performance.



Chapitre 5 : "La Vieillesse"



Hakeem Olajuwon connut encore quelques saison avec les rockets, mais ses performances commençaient a décliner sérieusement néanmoins il aida la Dream Team a remporter les Jeux Olympique en 1996, une coupe qui manquait au palmarès hallucinant de Olajuwon.
Le pivot texan approchait de la fin de la carrière mais continuait à produire un bon basket-ball. Embêté constamment par des pépins physique, le niveau du Dream commençait a faiblir et il signât pour une dernière saison et 17 Millions de dollars avec les Toronto Raptors, a la fin de la saison 2002 Hakeem Olajuwon prit sa retraite, son numéro 34 fut retiré et récemment il fut intronisé avec son grand rival Pat Ewing au Hall of Fame.
Malgrès sa retraire sportif le mythique numéro 34 des Rockets s’implique énormément pour le continent Africains a la manière d’un Dikembe Mutombo, matchs caricatifs, œuvres humanitaires, et camps de détections ont étaient mis en place par « The Dream » afin de faciliter la vie des jeunes Africains.
Olajuwon c’est 3.830 contres en carrière soit un record absolu, c’est 26 946 points et 13 748 rebonds en 18 ans de carrière soit une moyenne de 22 points et 11.5 rebonds par match, c’est un nouveau style de pivot, c’est un homme droit et super gentil sur et en dehors du terrain, c’est tous simplement un mot : une légende.



Ce qu’on ne sait pas sur Olajuwon.




-La Lettre « H » fut rajouté a son prénom en 1991 lorsqu’il se convertit à la religion musulmane
-C’est le premier joueur à accumulé 2000 contres et 2000 interceptions en NBA
-Il développas une paire de chaussure a seulement 35 dollars et refuse d’attacher son nom à une marque pour que tous le monde puisse pouvoir se payer des chaussures de basket.
-A commencé le Basket-ball a seulement 17 ans.
-Un des quatre joueurs a avoir réalise un quadruple double en NBA
-Il s’occupe actuellement d’encadrer des joueurs comme Desagna Diop ou encore le joueur d’Illinois Luol Deng
-Son surnom « The Dream » vient de ses moves exceptionnels que l’on appelaient alors les « Dream shakes » soit les feintes de rêves l’une de ses marques de fabrique.
-Une statue a était récemment construit a son effigie a Houston City.

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